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Plume de poètes : mon cri
Le cri
Le cri du bébé, seul arme pour demander à manger,
La douleur se transforme en hurlement,
C’est un cri pour maman,
Qu’elle seule peut décrire,
Dans ce monde cruel
Qui tourne en délire
Jusqu’à devenir choquant.
Prendre le bébé dans les bras,
Un grand silence règne aussitôt,
Laissant entendre le chant des oiseaux,
Dès que s’ouvre la fenêtre.Prendre le temps de s’arrêter
Pour écouter le cri délirant
D’une bête aux abois,
Poursuivie par des hommes cruels,
La nature est mélancolique,
Devant la méchanceté des hommes,
Qui détruisent sa beauté,
Pour implanter un grand centre commercial
Au détriment du monde animal,
Qui perd sa terre d’accueil,
Sa douceur de vivre,
Sa part de repas.
(26/11/2019)
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Commentaires
10VictoriaMercredi 27 Novembre 2019 à 14:57Un cri d'alarme qui se manifeste de plus en plus, cette destruction de la nature. Mais, si avec nos petits moyens, nous tentons d'y faire face, en recyclant, évitant les ordures disséminées à tout vent, qu'en est-il des grandes industries et autres grands groupes qui mettent d'abord en avant le profit ? Une polémique qui va durer, c'est certain. Merci pour ce poème, chatondaniel. Bon après-midi
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Mercredi 27 Novembre 2019 à 15:51
Tout est question d'argent. Les pouvoirs publics n'en ont plus et les hommes d'affaires en veulent toujours plus. Bonne soirée
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De toutes les raisons que l'on a de pousser un cri en ce monde parfois difficile à comprendre, le cri du cœur est sans doute le plus beau.
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Mardi 26 Novembre 2019 à 20:42
Le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas. Bonne soirée
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Il y a profusion de ces centres commerciaux, la nature, sa faune et sa flore on en a plus rien à faire, triste mentalité humaine !
C'est bien vrai
les centres commerciaux
Des sans besoins
Qui gaspillent du terrain
Nature en moins
Bonne soirée
@ Demain
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Mardi 26 Novembre 2019 à 20:41
J'avais en tête le nouveau centre au nord de Paris que le gouvernement vient de bloquer. Bonne soirée
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J'aime beaucoup la première partie de ton poème et sa conclusion. Bisous
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Ce jour
Le ciel s'ouvre un peu
Mais si peu
En mode gris-blanc
Sur le toit du monde
J'écris
Merci d'être passé
Chez moi ce matin